Non, idiots que vous êtes, Ben Laden n'est pas mort. L'histoire d'Obama est cousue de fil blanc. Premièrement, on n'a même pas de cadavre. Les G.I. l'ont semble-t-il balancé en mer. Étrange, pour un gouvernement qui déclare avoir voulu respecter la tradition musulmane en disposant de la dépouille dans les 24 heures suivant le décès.
Mais on a de l'ADN, dira-t-on. L'ADN de qui ? Quel membre du grand public peut voir de l'ADN, le toucher, l'authentifier. Donnez-moi une licence Photoshop, et je vous ponds un très beau rapport d'analyse d'ADN, avec les images et tout, et Ousama Ben Laden en Helvetica sur la couverture.
Source photo : wikipedia.
Et encore une opération tenue dans un bled peuplé d'analphabètes, loin des iPhones et autres sources d'information dignes de ce nom. Pas d'images, sauf celles gracieusement fournies par la CIA et l'armée. Non mais, vous me prenez pour qui ?
Il aurait suffi de prendre le cadavre et de l'exposer à Ground Zero derrière une vitre pare-balles. Comme la Joconde au Louvre, ou Lenine à Moscou (toute ressemblance est fortuite). Et pour 10 dollars, t'aurais pu avoir ta photo. Ça aurait été tellement facile de fournir une preuve incontestable. Pourquoi il ne l'ont pas fait ?
Petit indice dans les déclaration américaines, je le répète pour les plus aveugles d'entre-vous : « le cadavre a été jeté en mer ». Oussama est effectivement monté sur un bateau. Mais à destination d'une île du Pacifique.
Bon, pour ceux qui s'inquièteraient de voir Oussama débarquer sur la même île que JFK, Marilyn et Elvis, ne paniquez pas. La CIA a une deuxième île, réservée aux politiciens, révolutionnaires, et autres ennemis de la nation. Ben Laden ira retrouver Hitler, le Che, Lee Harvey Oswald, Allende, et Pancho Villa.
Dernière preuve que tout ça est organisé : depuis deux ou trois ans, les méchants des films holywoodiens ne sont plus des Arabes, mais des Chinois. Preuve que l'industrie américaine de la coercition des esprits est tuyautée depuis longtemps sur la réorientation stratégique de l'État.
J'attends mon Pulitzer par courrier. Demandez mon adresse à la CIA.
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